(RP) Dans le royaume des rêves à Utopia.

Je commence un RP. Rentrez dans le jeu s'il-vous-plaît. Vous pouvez vous incrustez.

Je ferme les yeux. Actuellement en cours de maths, j'ai fini mes ex, et je m'ennuie. Soudain, la classe se met à tourner.
Quand je rouvre les yeux, je suis en l'air, oui, c'est ça, en l'air, dans le vide. Tout autour de moi, c'est un monde multicolore, et je flotte dedans, je tourne la tête, et je vois Adriana. Je la rejoins en brassant l'air.
- Adriana ! Il se passe quoi là ?
-Roseline ! J'en sais rien du tout !
Tout d'un coup, un espèce de gros bonhomme en tête de fleur apparaît.
-Bonjour, dit-il de sa voix suave.
-Bonjour, je lui réponds.
-Votre ennui a créé un nouveau monde, comprenez-vous ?
-Ouuais ?
-Vous pouvez maintenant le modifier définitivement, et lui donner un nom. Vous pourrez venir en cas d'ennui.
Je me tourne vers Adriana.
-Ouhlà, lui souffle-je.
-On va commencer, dit-elle.
Le bonhomme fleur nous aide, et bientôt nous créons une ville plongée sous l'eau du nom de Utopia. Pour lui donner un côté magique, Adriana et moi décidons d'attribuer des queues de poisson à tous les futurs habitants de la ville sous-marine. Bientôt, je me retrouve à nager avec une grosse que de poisson.
-C'est génial !
Adriana et moi regagnons notre gros coquillage qui nous sert de maison. Après avoir construit avec du corail un petit lit, nous nous fourrons à l'intérieur et nous nous endormons.

DRRIIIIIING !!! Je repris mes esprits et sortis de Utopia. Sur le seuil de la porte je jetais un clin d'oeil complice à Adriana. Je retournerais à Utopia au prochain cours !!

Le cours instant où j'étais à Utopia fût le plus beau jour de ma vie. Moi et Roseline décidâmes d'y retourner au prochain cours. C'est le cours d'histoire-géo, un lundi matin. Tout de suite, moi et Roseline nous mirent à rêvasser mais Utopia ne vint pas. Je regarda Roseline, pour elle non plus sa ne fonctionnait pas. Mme Delaroche nous toisa sévèrement.
- Au lieu de rêvasser auriez-vous l'obligeance de suivre ce cours !
- Oui madame, nous répondirent en chœur moi et Roseline.
- Bon comme c'est deux jeunes filles semblent à présent décider de travailler. Je pense que vous pouvez très certainement accomplir un petit contrôle imprévue.
Moi et Roseline blêmissions, nous n'avions pas eu le temps de survoler notre cahier qui était ranger dans notre cartable.
Le contrôle comme prévue se révéla être extrêmement dur et je peinais à le finir quand la sonnerie retentit j'avais à peine fait les trois quart de la feuille. Je le rendit à contrecœur au professeur et sortit en contenant mes larmes.
J'espérais juste que ma feuille s'autodétruirait pendant le soir. Mais je pouvais toujours rêver.
Dans un élan de tristesse, je rejoignis Roseline tête baissée

Adriana me rejoins, déçue. Pour toutes les deux, la récréation se passe dans une mauvaise ambiance. Après être montée dans ma classe je m'assois à côté d'Adriana, qui affiche une mine boudeuse.
-On fait comment là ? elle me demande.
-J'en sais rien, je lui réponds. J'ai une idée !Pense à Utopia, et on le dit en même temps à 3 ! 1....2.....3 !
Rien ne se passe. Tout le cours on essaye de rentrer à Utopia en tapant dans nos mains, en le chantant, en claquant des doigts...En vain. Je pousse un long soupir devant mon échec cuisant. Je m'affale sur la table, profondément déçue. A moitié dans la lune, les paroles de Mme Pillet ne parviennent pas à pénétrer dans mon cerveau endormi.Tout d'un coup, je me retrouve à Utopia en compagnie d'Adriana.
-On a réussi !! me crie-t-elle.
-Ouui !
Mr Fleur arrive l'air gêné.
-Hé ho, Mr Grosse fleur bleue ! hurle Adriana. Comment on fait pour rentrer ?! On a galéré comme deux folles à rentrer !
-Excusez-moi, j'avais oublié ça, lui répondit Mr Fleur en se faisant tout petit. Pour rentrer dans Utopia, vous devez inventer un mot de passe ou un petit enchaînement de petit pas à éxécuter !
-Du genre : "Lalala, rentrons à Utopia" ? je lui demande.
-C'est ça ! Ou bien comme ça.
Mr Fleur commence à faire une petite chorégraphie composée de petits pas très simple.
Avec Adriana nous nous concertons et décidons d'utiliser "Le monde là-bas est bien joli, moi je veux partir d'ici !" comme mot de passe. Une petite comptine à réciter, très simple à retenir.
Ravies, nous partons d'Utopia, et retournons dans le cours d'anglais.

Enfin , nous avions réussi à revenir dans ce monde paradisiaque ! J'étais fébrile nous pouvions enfin revenir quand nous voulions !
Roseline en rentrant chez me dit :
- tu crois qu'on pourrait entrer toutes les deux dans le monde en se croisant sans être proche l'une de l'autre ?
- Comme une connexion Wi-Fi ?
- Oui !
-Je sais pas, on essaiera ou on attendra demain avec impatiente !

Adriana et moi nous rentrons chez nous. Après avoir récité la petite formule je me retrouve à Utopia.



Oh et puis non, flemme.

J'essayer en vain d'aller à Utopia mes je pouvais toujours récité la formule ça ne fonctionnait pas ! On devait être deux pour le faire et comme nous étions trop distante cela fut impossible ! Pauvre de moi !!!

3 secondes après, je sortis d'Utopia automatiquement. Adriana était trop loin. Le lendemain, toute la journée je fus à Utopia. Bonhomme fleur s'appelle en fait Fleurea mais je l'appelle toujours Bonhomme Fleur.
Je mis un route un projet, où je voulais construire un geand centre en coquillage pour se retrouver, discuter, faire connaissance ect..,
Mais un jour, un espèce de gros poulpe vint nous importuner. J'en parla à Adriana, et elle et moi décidèrent d'aller vaincre le poulpe. Après avoir pris un sac à dos, avec des provisions, nous mirent en route.

Ce poulpe était en fête la conscience qui réunissait toutes nos craintes, nos colère et notre tristesse. L'affronter, c'était comme se brisais tout nos souvenir douleureux vu que Utopia n'était enfaite que tiré de notre subconscient.
Le poulpe s'avança diffusants des images qui me fendirent le coeur. Roseline quand à elle était déjà en larmes, moi j'essayais en de contenir mes larmes mais je n'y parvins pas.
Nous revenâmes à la réalité, tous les élèves avait les yeux braquaient sur nous, incréduls. Je me rendit, soudain, compte que nous pleurions toutes les deux à chaudes larmes. Le professeur perdit patience et nous mit deux heures de colle le vendredi après-midi.

C'était impossible. Je sechais mes larmes, et sortit.
Le vendredi, pendant les deux heures de colle, Adriana décida de retourner à Utopia.Nous devions le faire.
Nous nous retrouvèrnt devant le poulpe. Désespérées, nous tapions en vain sur les gigantesques tentacules du poulpe.
Celui ci nous balaya simplement en bougeant sa tentacule. Blessée, je criais.
-Non mais vous êtes dingues ?
Adriana et moi reprenions nos esprits et nous retrouvèrent nez à nez avec un surveillant.

Je me retournais, après avoir entendu une élève crier. Je vis ensuite Adriana et Roseline. Je me demandais alors ce qu'il c'était passé, ces deux filles-là sont du genre à bien travailler, pas comme moi. Mais, récemment, j'entendu dire qu'elles étaient en chute. Alors,quand vint la fin des heures de colles, j'alla les aborder, même si je n'étais pas du genre à faire ça.
Moi : Euuh ... Salut !
Adriana & Roseline : .... Bonjour ?
Moi : Ah ! Euh, ok .... Je voudrais juste vous parler, puis-je ? Ce n'est pas très important, mais .... Voyez-vous .... Je .... ?
Adrina & Roseline : Euuh, d'accord.
Alors,nous rentrions ensemble, à la fin des cours. Puis, je commença à les interroger.
Moi : Bon, je sais que c'est pas très important, ni quoi-que ce soit, mais, que vous arrivent-ils ces temps-ci ? Vous vous faites punir, vous rêvassez en cours, puis, vous avez des heures de colle. Ne me mentez-pas s'il vous plaît,j'aimerais savoir.
Adriana & Roseline : .....
Elles me regardèrent, surprise, puis échangèrent un regard complice.
Moi : En fin de compte, ce n'était pas une bonne idée,hein ? Breff, j'y vais maintenant, mes parents m'attendent. A plus' !
Elles me regardèrent m'éloigner, sans un mot. J'étais très embarrassée,je ne savais pas ce que je venais de faire. Je décida alors de continuer mes recherches au lendemain. Oui, en fait,pendant tout ce temps, j'entretenais un petit carnet, où je faisais mes observations de tout mes camarades.
Le lendemain, quand je franchis le portail du collège, elles vinrent me voir.
Et puis, elles allaient me dire quelque chose, je vus leur lèvres s'entrouvrirent, mais, la sonnerie retentit à ce moment précis. Déçues, elles rejoignirent leurs rang. Elle m'avaient tout de même laisser un petit mot.
- Viens nous voir à la récré. Nous avons quelque chose d'important à te dire.

Elsa était sympa, Roseline et moi ne la connaissions pas trop mais c'était le moment de faire connaissance. A la récré de dix heures moi et roro allâmes lui expliquer tous. Elle nous écouta incrédule. Jamais, je ne l'avais vu aussi surprise. Je pari qu'elle ne nous coyait pas. mais elle fini par nous demander ce fameux code secret pour nous aider à conbattre le poulpe. Nous hésitons à lui dire mais finalement, nous renonçons, plutôt je renonce et lui dit.
Nous décidâmes le lendemin d'aller re-attaquer le poulpe. Celui-ci croit allussiner en voyant arriver Elsa, il cherche dans ces pensée quelque chose à diffuser pour lui faire du mal mais ne trouve rien. Surpris, il se laisse tomber tout on fonc de l'océan. Il est parti dormir au fond de nos souvenirs.

Ce matin, je fus surprise. Surprise à cause de ce qu'il m'était arrivée. Je repensais alors à tout ces évènements passés.
J'entra dans Utopia, puis, je vus le poulpe. Il me regardait, sidéré. Puis, tout à coup, il disparut. Je m'en alla m'informer auprès d'Adriana et Roseline. Elles m'expliquèrent ce qu'était ce poulpe. Elles étaient heureuses, il semblerait que je ne sois pas affectée par ce poulpe. En y repensant, je me rendis compte que c'était vrai. J'ai toujours vécu à ma manière, comme je le sentais. Je n'avais rien à me reprocher, ni rien à me blâmer. Cependant, je ne comprenais pas. Leur histoire me choquait vraiment. Je ne savais pas quoi faire.
Le lendemain, quand je fus au collège, j'étais décidée à aller leur demander la cause de tout ceci.
Moi : Bonjour.
Adriana & Roseline : Salut !
Moi : Pourrais-je avoir des informations sur hier ? Personnellement, j'ai encore un peu de mal à gober tout ça.
Adriana : Euuh .... C'est à dire que... On t'a tout dit hier. Nous ne comprenons pas pourquoi ce poulpe, gigantesque et dégueulasse s'incruste dans notre monde. Cependant, nous savons que tu ne crains pas ce poulpe, tu nous a été d'une grande aide hier. Merci. Mais,il va sûrement revenir.
Moi : Okk.... Breff,je dois vous parler.
Roseline : De quoi ?
La sonnerie retentit à ce moment là.
Moi : C'est drôle, j'ai l'impression que ça tombe toujours au moment le plus crucial ....
Adriana : Clair ...
Moi : Breff, je vous retrouve à la récré' !
Adriana & Roseline : Yup !
Pendant le cours, je réfléchissais. Si nous devons vaincre ce poulpe, il faudrait plus de gens comme moi, non ? Qui n'ont aucune chose à se blâmer, aucuns mauvais souvenir. Alors, me vint une idée... !
C'était l'heure de la récré', j'étais impatiente. Je les retrouvais sur un banc.
Moi : Re.
Adriana & Roseline : Re.
Adriana : Alors ? Cette chose à nous dire ?
Moi : Je viens de penser à un truc. Qui vous permettra de vaincre de poulpe.
Roseline : Ah oui ? Quoi ?
Moi : Si je ne crains pas ses trucs bizards qu'ils nous lancent, c'est que je n'ai rien à me blâmer non ? Alors, il faut penser à quelque chose qui pourrait toucher cette solution.
Adriana : Comment ça ?
Roseline : Quoi ? Tu n'as pas compris ?
Moi : Okk, d'accord, j'explique mal. Bon, je reformule. Si je ne crains pas ses trucs, c'est que je n'ai rien à me reprocher, aucuns mauvais souvenirs. Donc, deux possibilités s'offrent à nous. 1 ère : Rechercher d'autres personnes comme moi. Ce collège est immense, il devrait bien y en avoir un non ? Et puis, je dois avoir dans mon carnet quelques petites informations qui pourront toujours nous êtres utiles pour cette recherche.
Adriana : Ah ok ! De toute façon, c'est pas comme si on allait combattre ce poulpe géant qu'à trois ...
Roseline : Attends, et nous dans tout ça ? On a pas une vie super comme toi. On ne pourra rien faire.
Moi : Attends, je viens à la deuxième possibilité.
Roseline : Vas y, balance, j'écoutes.
Moi : Vous devez vaincre tout ça.
Roseline : Comment ça ?!
Moi : Ecoutez, si vous acceptez tout ce qui vous ai arrivées, les mauvaises choses qui sont arrivées dans votre vie, vous n'auriez plus à y repenser de manière négative. En gros : Vous devez accepter les mauvais et les bons côtés de ce qui vous ai arrivés. Alors, à ce moment là, vous ne serez plus affectées. Je sais que c'est difficile, mais, je n'ai trouvé que ça comme solution.
Roseline : .... M'oui. Assez difficile, hein ? J'envies les personnes comme toi...
Adriana : Clair, rien de tristes dans vos vies ...
Moi : Boff, je vis juste à ma manière,comme je le sens.
Roseline : Breff, on va y réfléchir. Merci d'y avoir penser.
Et, la sonnerie retentit.

Pourquoi tous mes commentaires disparaissent ?

Elsa nous avait expliqué son stratagème. J'y avais pensé, mais j'étais persuadée que ni Adriana ni moi n'aurait réussi.
Quelques temps plus tard, dans la classe, je me remémorais tous les malheurs qu'il m'étaient arrivés. Ce que j'avais fait. Pourquoi je l'avais fait. Comment je l'avais fait. Ce que j'aurais dû faire. Je trouvais à chaque fois un bon côté et mon coeur s'allégeait.
Dans la récréation, Adriana et Elsa criaient, les yeux dans le vide. Ca faisait peur à voir. On aurait dit qu'elles étaient des fantômes.
-Ils vous arrivent quoi ? vous êtes à Utopia ?
-Ha ? Heu...Quoi ?me répondirent-elles en choeur.
-Y a un problème. Faut qu'on fassent la différence entre Utopia et le monde réel !
La sonnerie retentit.

Sympa Elsa chui pa si gourde ke sa !! Lol

Elsa et moi avions décider de retourner à Utopia, j'avais presque réussi à vaincre mes peurs mais un souvenir (personnel) me fendait le coeur si bien que à chacune de mes tentatives le poulpe m'obigeait à crier et à pleurer. Un jour, ahurie, Roseline nous vis en train de crier dans la cour. Il fallait avant de le vaincre pouvoir rentrer à 100 pour 100 dans Utopia parce qu'à chaque fois une part de nous rester sur terre et nous entendais crier.
Il falleit à tout prix que nous arrivions à trouver le moyyen de rentrer EN-TIE-RE-MENT dans Utopia ce qui n'allait pas être une partie de plaisir.

Wouah ça fait longteeeeeemps...

Le soir, nous nous retrouvâmes chez Elsa pour essayer de rentrer dans Utopia. Nous simulâmes un devoir qu'on devait faire ensemble et rentrâmes dans la chambre.
-Bon, on fait comment ? commença Adriana.
-Bah je sais pas, répondis-je. En fait c'est peut-être parce qu'on s'ennuie pas assez... Enfin chais pas.
- Mais on peut pas s'ennuyer TOUT LE TEMPS ! cria Elsa. Nous on n'y va pas pour s'ennuyer mais pour vaincre le poulpe qui terrasse Utopia !
-Bah ouais, c'est ça le problème...
-Je crois que j'ai compris, dis-je. Il faudrait voir Monsieur et lui demander de rajouter quelque chose dans la petite formule. Ce sera encore plus précis, et notre voeu sera peut-être exaucé ?
-Faut essayer, dit Adriana en récitant la petite formule.
Toutes les trois nous allâmes voir et nous lui demandèrent de rajouter "Coupée de ce monde, je me sens bien mieux" à la formule.
-Oh attendez, répondit-il.
Il disparut un moment et réapparut.
-C'est bon !
-Génial ! je soufflais.
-On doit faire un test, maintenant, soupira Elsa.
-Je reste voir votre réaction. Criez quand vous serez à Utopia, moi je reste dans le vrai monde.
Nous partîmes avec Elsa et commencèrent à crier. Adriana nous avait-elle entendu ?

Cela faisait 3 heures que je l'ai attendais. Leurs corps gisaient sur le lit d'Elsa. Je faisaient les cents pas. Par chance, Roseline et moi avions prévenu nos parents que l'on dormait chez Elsa. J'avais très peur et si elles ne reviendraient pas ? Et si, il fallait les trois corps pour quelles puissent sortir ? Toute ces questions se bousculaient dans ma têtes je regardai ma montre 23 h. Les parents d'Elsa croyaient qu'on dormait. J'avais une peur terrible. Je décidai quand même d'y aller à Utopia mais j'essayai en vain. Utopia rester fermé j'espérai de tout cœur que le poulpe n'avait pas capturé leur conscience et plus je me posai des questions plus j'angoissai. Et si elle étaient perdu à jamais ? O_o !!! Mon DIEU, il fallait que je me calme et que je reprenne mes esprits mais je n'y arrivait pas ! qu'allaient-elles devenir ?????

(Ecrivez vite la suite Elsa et Rosou ! )

Elsa et moi, après avoir crié, essayèrent en vain de sortir pour demander à Adriana ce qui s'était passé.
Nous récitions la formule, essayâmes de sortir, mais rien.
Nous fermâmes les yeux et nous concentrâmes très fort.
D'un coup je me retournais, j'avais senti comme une présence. Je vis qu'Elsa aussi la sentit car elle me regarda d'un air inquiet.
Le poulpe apparut et tenta de nous capturer. Elsa, qui était parfaitement à l'aise, parce qu'elle n'avait rien à se reprocher, évita facilement la tentacule du poulpe.
De mon côté, le poupe m'envoya un terrible souvenir, et rongée par les remords, je m'écroulais.
Doucement, la tentacule s'enroula doucement autour de mon corps inerte et je perdis la vue.

Lorsque j'ouvris les yeux, Elsa semblait inconsciente. Où étais-je ?
Dans un cachot, évidemment. Elsa se frotta les yeux et me regarda hébétée.
-On est dans le cachot du poulpe, je crois, lui dis-je afin de lui faire prendre conscience de notre situation. Attends...
Pourquoi Elsa se trouvait-elle ici avec moi ? Elle avait pourtant parvenu à esquiver les tentatives habiles du poulpe.
-Pourquoi t'es ici, Elsa ?
-Bah en fait, commença-t-elle, après t'avoir vue t'écrouler, j'ai essayé de venir t'attraper pour nous enfuir. Malheureusement, tandis que je sautais sur ton corps, le poulpe avait déjà posé une de ses tentacules visqueuses sur mon dos. C'était trop tard. Bref, comment on sort ?

Je tournai en rond dans la pièce cela faisait mtn 5 h et il était 1h du mat ! Je savais à présent qu'il y avait un problème mais comment savoir si elle allaient bien ! je finis par lâcher des sanglots dans la chambre le moins fort possible. Je finis par m'endormir.
Quand je me réveilla il était 4h j'avais dormi donc 3h. Ouf! Je m'étais calmée et je décida de les contacter par la télépathie car peut-être que cela fonctionnerait car grâce au monde imaginaire on avait créé en nous un moyen de communiquer par la conscience. Je l'avais oublié ! c'était comme ça que l'on faisait en cours pour se décider d'aller à Utopia en mm temps vite j'ouvris mon cerveau me concentra et transmi " Que se passe-t-il vous allez bien ??" ma voix voulé se faire moins affolé mais elle était affolée. C'est une voix glacial qui me répondit..

"Oh, je me disais bien qu'il manquait quelqu'un"

Adriana avait essayé de nous contacter par télépathie. Malheureusement le poulpe avait intercepté son message et à présent il lui répondait.

J'entendis un cri. Adriana avait crié si fort que je l'avais entendu, alors que ses paroles étaient transmises au poulpe.

Je me retournais les yeux brillants.
-Elsa !
-Tu penses bien à la même chose que moi ? me répondit-elle un regard malicieux se reflétant sur son visage.
Je hochais la tête.
-ADRIANA !!! nous criâmes ensemble. CRIE !!! ON T'ENTENDS !!
Tout de suite après, "VOUS ALLEZ BIEN ?"

"NON!" répondirent elles en chœur !
"Comment je fais..." mais je ne pus finir j'entendis un hurlement. c'était ELSA !
"Enfoiré de poulpe purulent" criai-je au poulpe. Il mit à grogner.
"Comment oses-tu, je te conseille e t'excuser si tu veux revoir tes amies vivantes.
Je me mis à réfléchir, il ne tuera aucune d'entre elles car sinon il mourrait c'était notre énergie qui le maintenait en vie.

Le poulpe avait attrapé Elsa. La pauvre criait, hurlait et se débattait vainement. Elsa ne fut pas dupe, le poulpe tentait une attaque. Sûre d'elle, elle n'y prêta pas attention. C'était compréhensible puisqu'Elsa était libre et légère, toutes ses erreurs pardonnées. Mais le poulpe avait préparé autre chose. Il l'endormit grâce à un puissant jet de souvenirs qu'il lui envoya, ferma les yeux un sourire à la bouche.

-ADRIANA !!je hurlais. LE POULPE A ENDORMI ELSA !
Un moment de silence... Adriana devait sans doute se demander comment le poulpe avait-il réussi.. Je lui hurlais. "Il faut trouver une solution" me cria Adriana.
Le poulpe s'esclaffait maintenant.
Je l'interrogeais du regard.
-Comment vous allez faire, maintenant, viles créatures, excréments de la terre? Allez-y, je vous écoute, très attentivement.
Par milles marmottes de carottes ! J'avais oublié ce GROS détail. Le poulpe nous entendait, très bien même, puisqu'on criait.
J'observais le poulpe.
Une idée me jaillit du cerveau.
Je pris une pierre et la jeta sur le poulpe. Celui-ci s'avança d'un air menaçant, et me regarda avec des gros yeux.
-Bah vas-y tue moi. Comme ça on va mourir tous les deux, bien tranquillement.
Il sembla hésiter. Puis il soupira, et reparti s'asseoir. Il avait sans doute compris que j'avais raison. Sans moi, il mourait, vidé de son énergie.
Mon stratagème marchait ; je lançais les pierres dès qu'il repartait s'asseoir, et à chaque fois il s'avançait vers moi, et me jetait un regard agressif. Elsa, qui s'était réveillé, me regardait d'un air complice. Elle fit mine de glisser sur le sol et rouler tout près de moi.
Au bout d'une heure le poulpe était épuisé. Je fis mine de m'endormir et l'observa. Il avait compris qu'il était sur le point d'être complètement vidé de son énergie. Elsa, n'avait rien à offrir, de plus, elle était soi disant évanouie. Moi j'étais censée être endormie, et il ne pouvait pas pénétrer dans mes rêves. Il lui fallait de l'énergie. Et vite.
Il décida alors d'arracher Adriana du monde réel et de la ramener ici pour aspirer son énergie. du coin de l’œil je le regardais. Soudain, Adriana apparut toute étonnée. Elle se rua sur nos deux corps et je lui soufflais "on est réveillées ! Mais le poulpe croit qu'on dort. Maintenant tu es là. A côté de nous. On est réunies. On peut sortir. Trouver une solution." Adriana me sourit.

D'un seul coup, je fus aspiré tout net. Je paniqua et, je me retrouva devant les corps de Elsa et Roseline. Elles étaient inanimé mais un clin d'œil me suffit. Je fis le tour de la pièce le poulpe dormait épuisé parce que nous étions toutes les trois épuisé je secoua Elsa et elle se leva, on s'étreignait soulagées. Puis soudain, Fleurea apparut.
Vite venait je l'ai endormi souffla-t-il, il nous ouvrit et nous sortions à l'air libre nous flottâmes heureuse et sans ke l'on s'aperçois on était de retour dans le lit. Un sourire béat nous barrait la figure et la mère d'Elsa entra.

-Ca avance votre devoir ?
Toutes les 3 nous nous retournèrent sur la mère d 'Elsa. Elle nous regarda avec des gros yeux.
-Oui, ce devoir a l'air génial ! Vous travaillez bien hein !
Elle repartit fortement courroucée.

Nous éclatâmes de rire! sa faisait du bien de ce revoir, personnellement j'en avais mare de rêver! si nous ne retournions pas a Utopia le poulpe ne se réveillerai jamais.

Nous ne pouvions entrer à Utopia durant une certaine période, le temps que le poulpe se retrouve vidé de son énergie et ne puisse plus revenir.

-Ca risque d'être embêtant, dit Elsa.
Nous hochâmes la tête et nous affalâmes sur le lit. Que c'était bon de pouvoir se reposer !
Cependant un problème semblait persister dans mon esprit.
Le poulpe avait réussi à arracher Adriana du monde réel. Ne pouvait-il pas le refaire une autre fois ?